lundi 2 juin 2025

Roissy-en-Brie : démocratie municipale au rabais


Assez de mépris !

Les Roisséens ont le droit d’assister, de s’informer, 
et de participer à la vie de leur ville.

Exigeons la transparence.

Réclamons l’ouverture.


À Roissy-en-Brie, le conseil municipal ne fait plus salle comble — non pas par manque d’intérêt citoyen, mais faute de places et d’information. 

 

Depuis plusieurs mois, le maire François Bouchart semble considérer les règles de transparence démocratique comme de simples formalités, bonnes à expédier à la dernière minute.

 

Les conseils municipaux, moments essentiels de la vie démocratique locale, ne sont jamais annoncés en amont de manière lisible et accessible

 

La convocation est systématiquement envoyée au dernier moment, respectant à peine les 5 jours francs légaux imposés par le Code général des collectivités territoriales. Le strict minimum, rien de plus. 

 

Pour le reste — information du public, diffusion de l’ordre du jour, clarté des débats — il faudra repasser.

 

Pire encore, l’accès du public aux séances est devenu un parcours du combattant. 

 

L’espace dédié aux Roisséen.ne.s a fondu comme neige au soleil

 

Là où l’on comptait jadis une trentaine de chaises, permettant aux citoyens d’assister dans des conditions correctes aux débats, il n’en reste aujourd’hui que six. 

 

Et encore : rarement toutes disponibles. 

 

Une manière bien commode de faire taire toute présence critique ou simplement curieuse.

 

Cette réduction de l'espace public, aussi bien physique qu’institutionnel, s'apparente à une mise à l’écart délibérée de la population

 

François Bouchart n’a peut-être pas supprimé les conseils municipaux, mais il les vide progressivement de leur substance démocratique. 

 

À quoi bon respecter les règles à la lettre, si c’est pour en trahir l’esprit ?

 

Dans une commune de 23 000 habitants, où la démocratie locale devrait être vivante et participative, ce mépris des citoyens est inacceptable. 

 

Rappelons qu’au-delà des obligations minimales — affichage en mairie, publication sur le site internet, publicité des délibérations — les élus ont un devoir moral de transparence, d’accessibilité et d’ouverture.

 

✊ Il est temps que cela cesse.

 

La population de Roissy-en-Brie mérite mieux qu’un conseil municipal réduit à une formalité opaque, expédiée à huis clos.  

 

Nous appelons François Bouchart à rétablir les conditions d’un fonctionnement démocratique digne de ce nom : convocation anticipée, publicité claire des séances, accès réel du public. 

 

Le conseil municipal est celui de
tou.te.s les Roisséen.ne.s, 
pas une chambre fermée.

 


https://www.facebook.com/RoissyGaG/

https://www.facebook.com/CommuneDeRoissyEnBrie/

mardi 13 mai 2025

On avance et on évolue


Salutations à toutes celles et à ceux qui suivent Roissy Gag , depuis 20 ans, et aux autres.

Les deux Facebook de #RoissyGaG et de Commune de Roissy en Brie  vont évoluer dans les tous prochains jours. 

Nos presque 7000 followers et weuses vont devoir réfléchir un tout petit peu, faire des choix, pour garder les deux Facebook, en fonction de leur nature, où se rapprocher plus particulièrement de l'un des deux.

Pas d'obligation vous êtes libre, bien sûr, mais ça nous aidera un peu mieux pour faire des statistiques, pour pour voir d'où certain.e.s parlent, débusquer les faux comptes, enfin bref, s'atteler à construire un véritable média, qui va très prochainement avoir son site internet.

On vous explique. 

Sur #RoissyGag, nous allons continuer à poster des informations sur Roissy-en-Brie, bien sûr, mais aussi les dessins de nos dessinateurs préférés, les coups de gueule, les informations qui touchent à la critique des médias, au combat contre tous les fascismes, le sexisme, le racisme, etc., et aussi nos deux trois conneries habituelles, car le rire, comme disait je ne sais plus qui, c'est la décontraction de l'intelligence.

Concernant Commune de Roissy en Brie, nous allons, autant que faire ce peu, axer nos informations sur la ville locale, les communes alentours, et bien évidemment, en tant que nombril du monde 😂😂😂, sur le monde entier quand cela est nécessaire. 

Nos chèr.e.s ami qui "n'habitent pas chez nous" sont toutes et tous les bienvenu.e.s, car il n'y a que les imbéciles heureux qui sont nés quelque part, et qui pourrait, éventuellement, nous lâcher la grappe avec leurs commentaires débiles de trolls en culotte courte, qui nous balancent régulièrement à la tronche leur pathétique rancœur...

On a aussi plein de pseudo-psychologues, de ceux qui n'ont que ça à foutre que de regarder des Facebook qu'ils détestent, et de nous gratifier d'interminables commentaires, venus de Nice, de Cannes, des îles Caïmans, ou de Thaïlande, ou de tous les potes macronistes et républicains de notre merveilleuse édile.

À l'arrivée d'Internet, vers 1994, on avait inventé le mot glocal, mélange de global et de local, pour définir les échanges qu'on pourrait avoir avec ce nouveau média, qui nous semblait extraordinaire, puisque l'on pouvait papoter avec un mexicain, comme avec un voisin sur un palier.

On appelait ça la fontaine du village mondial...

Là où l'on se retrouve.

Nous étions persuadés que ce réseau échapperait, par sa structure même, aux forces du fric et du capitalisme effréné.

On s'est bien planté. 

Alors aujourd'hui, essayons de recréer du lien, dans nos quartiers, nos villes, et entre personnes qui souhaitent échanger, d'ou qu'ils/elles viennent.

Salut & Sororité, Fraternité, Égalité, Liberté, Solidarité...

DaVcK0!

samedi 30 décembre 2023

Le tout petit Nabot (là, on peut mettre un N majuscule)

Le tout petit Nabot, n'est pas un rigolo,
Renter dans son bureau, c'est vraiment dégoutant,
Cartons de pizza vides, et puis ça pue la clope,
Quand tu bosses avec lui, ça n'est vraiment pas glop.

Le tout petit Nabot, dans la ville, déambule
Un peu comme un Charlot, oui, mais sans le talent,
Recherche un peu d'amour, dans ce monde cruel
Entouré de ses sbires, mafieux de pacotille.

Mais il est dangereux, le tout petit Nabot
Surtout quand il s'énerve, et qu'il pète son plomb,
Alors, il faut le voir, tout rouge de colère,
Ce tout petit Nabot, qui se prend pour un maire.

Le tout petit Nabot, le nez dans la farine,
Va nous pondre un étron, des chantiers, du béton,
Accaparer la ville, et avec son bâton,
Frappe tous ceux qui contestent, ou ne sont pas comme lui.

Ô grand malheur à toi, vilain petit Nabot,
Il y aura bien un jour où tu disparaitras,
Et l'on peut être sûr que quand viendra ce jour,
On retrouv'ra l'envie, la ville et les amours.

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(Toute ressemblance avec des personnages ayant existé serait purement fortuite)

jeudi 9 novembre 2023

Roissy-en-Brie, riante cité...

Roissy en Brie 

(certains écrivent Roissy-en-Brie,
et nous allons bien finir par l’admettre)

Roissy-en-Brie, riante cité

Petite bourgade située à 24 kilomètres de la Porte de Bercy, desservie par un fantastique RER E, toujours précis comme une horloge, Roissy-en-Brie (brillante cité, donc) a tout pour devenir ce petit coin douillet où, chacun.e dans son pavillon, son appart’ ou son HLM, coulerait des jours heureux, loin des affreux Serris et autre Bussy-Saint-Georges qui, lui, revendique son tiret.

Nous restons un « village » (de bientôt 25 000 habitants quand même), avec un centre-ville dynamique et commerçant (Ha Non !!! Ça, c’est Ozoir), une municipalité à l’écoute et aux sévices… Heu… au service de ses administré.e.s (et pas du tout, ho, ça, non jamais, au service des élus qui montent leur boite dans l’immobilier, mais bon, vous comprenez, il faut bien travailler). 

On n’est pas des assistés, NOUS!!!

De 3 000 habitants fins des années cinquante, Roissy se développa, petit à petit, mais avec une sale réputation de ville dortoir. Qui persiste, hélas, par manque d’ambition culturelle (première décision du nouveau maire : fermer le PUB ADK, pourtant dans le Réseau des musiques actuelles…).

On travaille ailleurs, on rentre chez soi le soir et, accessoirement, on a des clubs de sport sympa, un conservatoire dynamique (heureusement que notre édile ne peut pas y foutre son nez, comme dans la médiathèque et le Centre Social des Airelles, sinon, « que j’t’aurais privatisé tout ça, mon bonhomme et que, féchié !, mes pouvoirs de maires sont limités. Ça s’pass’ra pas comme ça ! Et tiens ! Paf dans la tronche ! D’UMP, je passe Macroniste ! »).

Calmos, Mister Boudart, calmos.

Nous essayons juste d’établir les faits.

Pas de quoi fouetter un Zerdoun, pauvre souffre-douleur de vos caprices enfarinés.

Ainsi donc, vous arrivâtes sur Roissy, propulsé par une famille aimante, viendue du Nord, en 2015, succédant à Madame Priest-Godet qui, opportunément, et comme Roissy GaG l’avait annoncé en 2013, démissionna pour vous laisser la place (car vous n’auriez jamais été élu sinon). 

Il faut dire que votre prédécesseur-trice, amoureuse du béton (comme vous), n’aura pas laissé que de bons souvenirs, à l’exception peut être du concert de Jacques Higelin qui chante Trenet, l’année de son élection. Sinon quoi, Madame Fusch ? Laisser tomber ceux qui vous soutiennent. Continuer à bétonner la ville ? Placer les copains ?

Oublions Christiane Béraud*, autoritaire et tyrannique, et Lionel Courant, Paix à son âme, mais qui, quand même, fut condamné à quatre ans de prison, dont deux avec sursis, ainsi qu'à 30 000 euros d'amende pour corruption passive et abus de confiance.

Alors qu’est-ce qu’on pourrait imaginer pour demain, pour nos gosses, dans notre « belle ville de Roissy-en-Brie », comme adore le dire notre édile, tel un vulgaire Chirac tâtant le cul des vaches, car cela ne se fait pas de tripoter le postérieur de ses administré.e.s (Quoique... Avec nos élus,  tout est possible).

Nous avons élu, bien malgré nous, avec une abstention record (merci la Covid), un triumvirat, le Bouzéramix, qui se la joue cool (« Hé, t’as vu mon Insta, mais bon, ceux qui ne sont pas d’accord avec moi, je les bloque sur mon Facebook… », c’est-à-dire la moitié de la ville), mais qui, en fait, gère son royal domaine à sa façon, sans concertation aucune et, toujours, dans l’intérêt des promoteurs immobiliers.

Et que je te transforme un bassin historique en dalle de béton d’où jaillissent des petits prouts de flotte sur lesquels les gamins et les vieillards se pètent la gueule, et que je fais mettre des pavés devant la mairie, totalement défoncés une première fois, rénovés, puis, à nouveau défoncés. 

Et que j’appelle le parc Jacques Chirac, sans aucune concertation, et que j’y mets un portrait géant qui traumatise les gosses. Et que, une fois élu en 2015, j’ai tiqué sur le nom du gymnase Nelson Mandela, que je voulais débaptiser, mais bon, heureusement, aujourd’hui, tout le monde a oublié. 

Et que j’utilise de drôles de méthodes (c’est un euphémisme, pour les détails, composez le 17 ou appelez directement le tribunal de Melun) pour me débarrasser de mes adversaires politiques au sein de ma propre majorité, même s’ils ont tout donné, et essuyé les plâtres de votre sinistre politique municipale, d'abord sarkozyste, puis UMPiste, avant de devenir macronniste.

Et que j'aborde le développement immobilier à MA façon, en nommant un premier et une deuxième adjoint.e.s ayant directement des intérêts dans ce secteur. 

Toi, petit proprio, ou toi, habitant d’un HLM qui te coupe le chauffage trois jours en plein hiver, on va te faire chier pour le permis de construire d’une câââbââne au fond du jardin (j’adore Cabrel), on va t’agresser verbalement en public parce que tu as osé émettre un avis différent.

À l'inverse, si tu t'appelles LNC, Kauffman, ou Bouygues, tu pourras construire, sans problème aucun, les yeux fermés, de grosses daubes déjà vieilles au bout de trois ans, et même si c’est contre la Loi (Cf. L’Espérance, près du passage à niveau, où l’on peut toujours lire un permis de construire signé Jonathan Zerdoun, malgré l'annulationdu projet).

Le même Zerdoun qui signe, les yeux fermés, des permis de construire pour des projets situés en zone inondable.

Il aurait juste suffi de consulter les voisins pour comprendre qu’il ne fallait pas construire ici et que, si le promoteur qui souhaitait racheter toute la zone autour de Diagonal a renoncé, c’est que, lui, il n’est pas trop con, qu’il a fait effectuer des relevés qui concluent que non, c’est mort, on ne peut pas construire ici. Ça n’empêche pas une nouvelle daube de s’élever dans le coin, et l’on plaint les futurs propriétaires qui vont payer très cher pour voir leur Tesla noyée sous un mètre d’eau.

Mais Nom de d*** ! Quand on est en responsabilité, on se renseigne !!!

Non ?

Madame Séenne Laroy, psychologue et sexologue de son état, nous a convoqué dans un groupe « Gestion de la colère », afin que nous puissions nous poser, prendre du recul, et répondre enfin à la seule question qui vaille : quel avenir pour Roissy ? Pour nos gosses, pour nos forêts, pour nos hérissons, renards et salamandres… Elle a rajouté qu’il est préférable d’utiliser la CNV (Communication non violente) pour échanger avec ses pairs. Mais que la colère est saine, car elle reflète un besoin, tant qu’elle ne nuit pas à autrui.

Alors oui.

Çà et là, dans quelques commentaires aigris et complices des meilleur.e.s copain.es de l’édile, nous entendons dire, ou plutôt écrire, souvent de façon anonyme et agressive, que nous ne faisons que critiquer, que nous sommes de mauvaise foi, que ce vénéré maire a beaucoup fait pour notre ville et pour le petit commerce (Certes. Mais lequel ?), et que Gna Gna Gna, Roissy GaG, ce ne sont que d’affreux gauchistes qui souillent l’image de notre ville et colportent des mensongeries.

Que nenni. Nous n’en avons pas grand-chose à faire, que le maire soit de gauche, de droite ou partisan des petits hommes verts. Tout ce que nous souhaitons, nous qui ne sommes ni de gauche, ni de droite, et que même qu’on s’en fout de ces cases dans lesquelles on aimerait nous enfermer, ce que nous voulons, donc, et l’énorme succès des vues de Roissy GaG sur la Fesse du Bouc ou le site http://roissygag.net le prouve, c’est qu’on arrête de nous prendre pour des con.ne.s.

Le paternalisme, les petites photos de la maison de monsieur le maire (petit « m », petit « m ») le dimanche, pour nous montrer que son gazon est bien tondu, sa maison bien rangée et son Seven Up dans le frigo, le petit message sur Insta, chaque lundi, avec ses dossiers alignés, afin de montrer qu’il bosse un peu (à 10 000 boules par mois, heureusement !), la façon de considérer les roisséen.ne.s comme ses sujets, tout cela commence à bien faire.

On n’est pas à Levallois, ici.

On ne va pas valider un Bouchbalkany…

On veut une vraie ville.

On veut que la mairie préempte des lieux pour y mettre des commerces, et pas seulement des agences immobilières et des constructions lucratives pour les copains.

On veut une ville qui bouge, vraiment, avec une programmation culturelle variée et originale, avec des troupes en résidence qui pourraient intervenir dans les écoles, au lieu de donner les trois quarts du pognon de la culture à trois stars qui n’en ont pas besoin, à un tarif prohibitif, même pour les roisséen.ne.s.

On veut une ressourcerie, un lieu de vie, pourquoi pas dans l’ancien Pub ADK, qui pourrait être mis à la disposition des associations, qui y organiseraient des événements (au lieu de le laisser se dégrader et pourrir comme c’est le cas aujourd’hui).

On veut un contrôle citoyen sur les constructions à venir, avec une vraie réflexion globale et locale. Hé ! Bouchart… Quand on rajoute cent logements, où sont les parkings et les écoles qui vont avec ?

Ce sont bientôt les soldes. Il serait temps d’acheter un cerveau...

Hé ! Les gourous de l’immobilier qui tiennent les rênes de la mairie… Ne serait-il pas temps que vous fassiez preuve d’un peu de décence et de morale ?

Et si un sursaut d’empathie et de lucidité tombait sur vous ?

On peut toujours rêver…

DaVcK0 !

* https://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/roissy-en-brie-le-bilan-contraste-de-christiane-beraud-05-03-2002-2002868875.php

* https://www.facebook.com/RoissyGaG/

mercredi 4 octobre 2023

Le clown triste

Le clown triste a perdu son nez rouge

Depuis qu'il est arrivé, dans cette ville, rien ne bouge
Et pour accentuer le côté ville dortoir,
Il aimerait bien faire, comme là-bas à Ozoir

Régner partout en maître, tel un malOneto,
Et faire dix mandats, ramasser de l'oseille,
Devenir le patron, distribuer l'pognon
De façon arbitraire, à ses potes, à ses frères

Il débarqua un jour, sur son petit cheval
Tentant de battre Fuchs, et il prit une tôle,
Et pendant 6 années, en fait d'opposition
Il n'était jamais là, il amassait des ronds

Mais tel le loup, le renard et la belette réunis
Il attendait son heure et le rôle de sa vie
Et lorsque Fuchs merda dans les grandes longueur
Il se pointa soudain et la main sur le ❤️ cœur

Il promit vraiment tout, tout et n'importe quoi
Il était écolo, UMP, macroniste, 
Il colla des affiches pour la première fois
Il jouait les gros bras, parfois limite raciste

Mais aujourd'hui bien sûr, nous avons oublié
Ce qu'était cette époque, dans les années 2000
Roissy bougeait encore, et tout n'était pas mort
Le clown triste, d'un seul geste, à endormi la ville.
 
Le Héron du Lac



dimanche 1 octobre 2023

Le Zerdoun et le Bouchart

Maître Bouchart, sur un arbre perché, tenait dans son bec un projet.

Maître Zerdoun, par l'odeur alléché, aimerait aussi en croquer.

" Oh eh !", mon maire adoré, que vous êtes joli, que vous me semblez beau.

Sans mentir, si votre projet est de tout bétonner, vous me trouv'rez toujours placé à vos côtés.

À ces mots, le Bouchart, ne se sent plus de joie, et convoque Aramis afin d'être flatté.

‹‹ Je suis maître en la ville, tout l'monde est à mes pieds,

Et de contestation point ne puis supporter.

Alors les écolos, les gauchistes, et les autres,

Baisez-moi donc les pieds, car je suis votre apôtre,

Éloignez de vous de moi, car tout seul, je décide,

Mes collaborateurs sont mes valets dociles.

Je peux vite devenir votre ‹‹ Peur sur la ville ›› !

Tel un vulgaire Macron, petit roi sur mon île,

Je sais ce qu'il vous faut, vous les gueux, les prolos ››.

Moralité

Apprenez que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l'écoute,

Vous reprendrez bien une louche de béton, sans doute...
 
 

dimanche 11 septembre 2022

La fille et le garçon (petit compte Pogbesque)

C’est un garçon
Qu’il était bon !
C’était une fille à la vanille. 

C’est un garçon, bond dans le fond de la piscine.
C’était une fille dans son petit pull, Marine.

https://youtu.be/o7MwHGHWgLk

Lui est Kanard, ou se dit tel.
Elle est motarde, « anar » dit-elle, et ses moutards, plaints de papas.

Mais l’Anarchie, c’est MAJUSCULE, ça ne supporte pas l’adule.
Le Libertaire (L’Ibère ? T’as RIEN !), s’accorde mal avec les Chiens.


Chiens de la Casse, du Désespoir, face à la thune, trahissent la Lune,
Et vont finir dans une tribune, dans l’angle mort d’un PSG,
Virant facho, limite Naze, et qui n’aime pas les PD…

Alors, il faut gratter, gratter, gratter...

Et espérer, gratter encore,
Petite Maure, sur le comptoir,
Pauvre garçon, qui broie du Noir,
En espérant qu’un jour, peut-être,
La fortune tombera du Ciel…

Mais NON.

Ça ne tombe jamais.

Si t’es Anar, ça tu l’sais bien,
Y’a qu’le Mektoub ou bien y’a RIEN.

Certain disent même « C’est le Destin » !
Et quant aux z’autres?
Y' croizenrien.
En attendant, qu’un jour...
La faim…

Ce qui compte, ça n’est pas le BUT, c’est le voyage

(Vas dire ça aux dirigeants du PSG, et là, tu vas manger !!!).

Revenons-en à nos agneaux, à notre agnelle, et au Bozo.

Trop ôtés par la vie, tripoté.e.s par la Mort, vivent de petits larcins,

De petites arnaks et de menus frottis, alors tripotent aussi…
Car « Y’a pas de Raison » !
Puisqu’on nous Mâte à mort, hé bien… 

Matons les matons !

(et accessoirement, tondons les moutons)


Mais le Matou Matheux, cuit, qui passait par là,

Ravagé par la vie et se croyant tranquille, parc'qu'enfin il croyait,
Un jour, Antoine Croizat...

QUI ?

Le garçon et la fille.

Alors tout explosa. 
Les z’amis, les z’amours, et les z’emmerdes.
(Comme dirait l’autre… Heu ?... Aznatatürk ? C’est ça ?). 

Bon BREF !

Et Là, on peut dire BREF !
(Ce n’est pas une figure de style).

Le Matou, les Gazelles, les Gnous et leurs petits,
Face au lion, Kiss Croix FORT, furent mangés tout crus.

Juste paskilzycroyaient (Comme Deraime il disait).

https://youtu.be/yRbVt5UZRrM 

Et tout a explosé.

Et tout s’est mélangé.

Les Gnous, le PSG, le garçon et la fille.
Les pains au chocolat, sur la moto d’Dpogba.
Gotlieb passait par là, (ça n'était pas Flippeur)
Et le Matou Matheux,

Aidé par ses amis, et tous les autres, aussi,
De son Labyrinthe, trouva enfin la sortie.

C’t’un peu confus.

(Pourquoi « fût » ?)

Mais ça…

C’est DIT

(Et bientôt, ça, c’est fait).

Pointalaligne. 

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Moralité : 

El père Y colle au zoo c’porc Jerzi

 

DaVcK0! Roissy en Brie – Le mardi 11 septembre 1984

Heu… 2022