vendredi 9 février 2024
samedi 30 décembre 2023
Le tout petit Nabot (là, on peut mettre un N majuscule)
Le tout petit Nabot, n'est pas un rigolo,
Renter dans son bureau, c'est vraiment dégoutant,
Cartons de pizza vides, et puis ça pue la clope,
Quand tu bosses avec lui, ça n'est vraiment pas glop.
Le tout petit Nabot, dans la ville, déambule
Un peu comme un Charlot, oui, mais sans le talent,
Recherche un peu d'amour, dans ce monde cruel
Entouré de ses sbires, mafieux de pacotille.
Mais il est dangereux, le tout petit Nabot
Surtout quand il s'énerve, et qu'il pète son plomb,
Alors, il faut le voir, tout rouge de colère,
Ce tout petit Nabot, qui se prend pour un maire.
Le tout petit Nabot, le nez dans la farine,
Va nous pondre un étron, des chantiers, du béton,
Accaparer la ville, et avec son bâton,
Frappe tous ceux qui contestent, ou ne sont pas comme lui.
Ô grand malheur à toi, vilain petit Nabot,
Il y aura bien un jour où tu disparaitras,
Et l'on peut être sûr que quand viendra ce jour,
On retrouv'ra l'envie, la ville et les amours.
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(Toute ressemblance avec des personnages ayant existé serait purement fortuite)
jeudi 9 novembre 2023
Roissy-en-Brie, riante cité...
Roissy en Brie
(certains écrivent
Roissy-en-Brie,
et nous allons bien finir par l’admettre)
Roissy-en-Brie, riante cité
Petite bourgade située à 24 kilomètres de la Porte de Bercy, desservie par un fantastique RER E, toujours précis comme une horloge, Roissy-en-Brie (brillante cité, donc) a tout pour devenir ce petit coin douillet où, chacun.e dans son pavillon, son appart’ ou son HLM, coulerait des jours heureux, loin des affreux Serris et autre Bussy-Saint-Georges qui, lui, revendique son tiret.
Nous restons un « village » (de bientôt 25 000 habitants quand même), avec un centre-ville dynamique et commerçant (Ha Non !!! Ça, c’est Ozoir), une municipalité à l’écoute et aux sévices… Heu… au service de ses administré.e.s (et pas du tout, ho, ça, non jamais, au service des élus qui montent leur boite dans l’immobilier, mais bon, vous comprenez, il faut bien travailler).
On n’est pas des assistés, NOUS!!!
De 3 000 habitants fins des années cinquante, Roissy se développa, petit à petit, mais avec une sale réputation de ville dortoir. Qui persiste, hélas, par manque d’ambition culturelle (première décision du nouveau maire : fermer le PUB ADK, pourtant dans le Réseau des musiques actuelles…).
On travaille ailleurs, on rentre chez soi le soir et, accessoirement, on a des clubs de sport sympa, un conservatoire dynamique (heureusement que notre édile ne peut pas y foutre son nez, comme dans la médiathèque et le Centre Social des Airelles, sinon, « que j’t’aurais privatisé tout ça, mon bonhomme et que, féchié !, mes pouvoirs de maires sont limités. Ça s’pass’ra pas comme ça ! Et tiens ! Paf dans la tronche ! D’UMP, je passe Macroniste ! »).
Calmos, Mister Boudart, calmos.
Nous essayons juste d’établir les faits.
Pas de quoi fouetter un Zerdoun, pauvre souffre-douleur de vos caprices enfarinés.
Ainsi donc, vous arrivâtes sur Roissy, propulsé par une famille aimante, viendue du Nord, en 2015, succédant à Madame Priest-Godet qui, opportunément, et comme Roissy GaG l’avait annoncé en 2013, démissionna pour vous laisser la place (car vous n’auriez jamais été élu sinon).
Il faut dire que votre prédécesseur-trice, amoureuse du béton (comme vous), n’aura pas laissé que de bons souvenirs, à l’exception peut être du concert de Jacques Higelin qui chante Trenet, l’année de son élection. Sinon quoi, Madame Fusch ? Laisser tomber ceux qui vous soutiennent. Continuer à bétonner la ville ? Placer les copains ?
Oublions Christiane Béraud*, autoritaire et tyrannique, et Lionel Courant, Paix à son âme, mais qui, quand même, fut condamné à quatre ans de prison, dont deux avec sursis, ainsi qu'à 30 000 euros d'amende pour corruption passive et abus de confiance.
Alors qu’est-ce qu’on pourrait imaginer pour demain, pour nos gosses, dans notre « belle ville de Roissy-en-Brie », comme adore le dire notre édile, tel un vulgaire Chirac tâtant le cul des vaches, car cela ne se fait pas de tripoter le postérieur de ses administré.e.s (Quoique... Avec nos élus, tout est possible).
Nous avons élu, bien malgré nous, avec une abstention record (merci la Covid), un triumvirat, le Bouzéramix, qui se la joue cool (« Hé, t’as vu mon Insta, mais bon, ceux qui ne sont pas d’accord avec moi, je les bloque sur mon Facebook… », c’est-à-dire la moitié de la ville), mais qui, en fait, gère son royal domaine à sa façon, sans concertation aucune et, toujours, dans l’intérêt des promoteurs immobiliers.
Et que je te transforme un bassin historique en dalle de béton d’où jaillissent des petits prouts de flotte sur lesquels les gamins et les vieillards se pètent la gueule, et que je fais mettre des pavés devant la mairie, totalement défoncés une première fois, rénovés, puis, à nouveau défoncés.
Et que j’appelle le parc Jacques Chirac, sans aucune concertation, et que j’y mets un portrait géant qui traumatise les gosses. Et que, une fois élu en 2015, j’ai tiqué sur le nom du gymnase Nelson Mandela, que je voulais débaptiser, mais bon, heureusement, aujourd’hui, tout le monde a oublié.
Et que j’utilise de drôles de méthodes (c’est un euphémisme, pour les détails, composez le 17 ou appelez directement le tribunal de Melun) pour me débarrasser de mes adversaires politiques au sein de ma propre majorité, même s’ils ont tout donné, et essuyé les plâtres de votre sinistre politique municipale, d'abord sarkozyste, puis UMPiste, avant de devenir macronniste.
Et que j'aborde le développement immobilier à MA façon, en nommant un premier et une deuxième adjoint.e.s ayant directement des intérêts dans ce secteur.
Toi, petit proprio, ou toi, habitant d’un HLM qui te coupe le chauffage trois jours en plein hiver, on va te faire chier pour le permis de construire d’une câââbââne au fond du jardin (j’adore Cabrel), on va t’agresser verbalement en public parce que tu as osé émettre un avis différent.
À l'inverse, si tu t'appelles LNC, Kauffman, ou Bouygues, tu pourras construire, sans problème aucun, les yeux fermés, de grosses daubes déjà vieilles au bout de trois ans, et même si c’est contre la Loi (Cf. L’Espérance, près du passage à niveau, où l’on peut toujours lire un permis de construire signé Jonathan Zerdoun, malgré l'annulationdu projet).
Le même Zerdoun qui signe, les yeux fermés, des permis de construire pour des projets situés en zone inondable.
Il aurait juste suffi de consulter les voisins pour comprendre qu’il ne fallait pas construire ici et que, si le promoteur qui souhaitait racheter toute la zone autour de Diagonal a renoncé, c’est que, lui, il n’est pas trop con, qu’il a fait effectuer des relevés qui concluent que non, c’est mort, on ne peut pas construire ici. Ça n’empêche pas une nouvelle daube de s’élever dans le coin, et l’on plaint les futurs propriétaires qui vont payer très cher pour voir leur Tesla noyée sous un mètre d’eau.
Mais Nom de d*** ! Quand on est en responsabilité, on se renseigne !!!
Non ?
Madame Séenne Laroy, psychologue et sexologue de son état, nous a convoqué dans un groupe « Gestion de la colère », afin que nous puissions nous poser, prendre du recul, et répondre enfin à la seule question qui vaille : quel avenir pour Roissy ? Pour nos gosses, pour nos forêts, pour nos hérissons, renards et salamandres… Elle a rajouté qu’il est préférable d’utiliser la CNV (Communication non violente) pour échanger avec ses pairs. Mais que la colère est saine, car elle reflète un besoin, tant qu’elle ne nuit pas à autrui.
Alors oui.
Çà et là, dans quelques commentaires aigris et complices des meilleur.e.s copain.es de l’édile, nous entendons dire, ou plutôt écrire, souvent de façon anonyme et agressive, que nous ne faisons que critiquer, que nous sommes de mauvaise foi, que ce vénéré maire a beaucoup fait pour notre ville et pour le petit commerce (Certes. Mais lequel ?), et que Gna Gna Gna, Roissy GaG, ce ne sont que d’affreux gauchistes qui souillent l’image de notre ville et colportent des mensongeries.
Que nenni. Nous n’en avons pas grand-chose à faire, que le maire soit de gauche, de droite ou partisan des petits hommes verts. Tout ce que nous souhaitons, nous qui ne sommes ni de gauche, ni de droite, et que même qu’on s’en fout de ces cases dans lesquelles on aimerait nous enfermer, ce que nous voulons, donc, et l’énorme succès des vues de Roissy GaG sur la Fesse du Bouc ou le site http://roissygag.net le prouve, c’est qu’on arrête de nous prendre pour des con.ne.s.
Le paternalisme, les petites photos de la maison de monsieur le maire (petit « m », petit « m ») le dimanche, pour nous montrer que son gazon est bien tondu, sa maison bien rangée et son Seven Up dans le frigo, le petit message sur Insta, chaque lundi, avec ses dossiers alignés, afin de montrer qu’il bosse un peu (à 10 000 boules par mois, heureusement !), la façon de considérer les roisséen.ne.s comme ses sujets, tout cela commence à bien faire.
On n’est pas à Levallois, ici.
On ne va pas valider un Bouchbalkany…
On veut une vraie ville.
On veut que la mairie préempte des lieux pour y mettre des commerces, et pas seulement des agences immobilières et des constructions lucratives pour les copains.
On veut une ville qui bouge, vraiment, avec une programmation culturelle variée et originale, avec des troupes en résidence qui pourraient intervenir dans les écoles, au lieu de donner les trois quarts du pognon de la culture à trois stars qui n’en ont pas besoin, à un tarif prohibitif, même pour les roisséen.ne.s.
On veut une ressourcerie, un lieu de vie, pourquoi pas dans l’ancien Pub ADK, qui pourrait être mis à la disposition des associations, qui y organiseraient des événements (au lieu de le laisser se dégrader et pourrir comme c’est le cas aujourd’hui).
On veut un contrôle citoyen sur les constructions à venir, avec une vraie réflexion globale et locale. Hé ! Bouchart… Quand on rajoute cent logements, où sont les parkings et les écoles qui vont avec ?
Ce sont bientôt les soldes. Il serait temps d’acheter un cerveau...
Hé ! Les gourous de l’immobilier qui tiennent les rênes de la mairie… Ne serait-il pas temps que vous fassiez preuve d’un peu de décence et de morale ?
Et si un sursaut d’empathie et de lucidité tombait sur vous ?
On peut toujours rêver…
DaVcK0 !
mercredi 25 octobre 2023
mercredi 4 octobre 2023
Le clown triste
dimanche 1 octobre 2023
Le Zerdoun et le Bouchart
dimanche 11 septembre 2022
La fille et le garçon (petit compte Pogbesque)
C’est un
garçon
Qu’il était bon !
C’était une fille à la vanille.
C’est un
garçon, bond dans le fond de la piscine.
C’était une fille dans son petit pull, Marine.
Lui est Kanard,
ou se dit tel.
Elle est motarde, « anar » dit-elle, et ses moutards, plaints de papas.
Mais l’Anarchie,
c’est MAJUSCULE, ça ne supporte pas l’adule.
Le Libertaire (L’Ibère ? T’as RIEN !), s’accorde mal avec les Chiens.
Chiens de la Casse, du Désespoir, face à la thune, trahissent la Lune,
Et vont finir dans une tribune, dans l’angle mort d’un PSG,
Virant facho, limite Naze, et qui n’aime pas les PD…
Alors, il faut gratter, gratter, gratter...
Et espérer, gratter encore,
Petite Maure, sur le comptoir,
Pauvre garçon, qui broie du Noir,
En espérant qu’un jour, peut-être,
La fortune tombera du Ciel…
Mais NON.
Ça ne tombe jamais.
Si t’es Anar, ça tu l’sais bien,
Y’a qu’le Mektoub ou bien y’a RIEN.
Certain disent même « C’est le Destin » !
Et quant aux z’autres?
Y' croizenrien.
En attendant, qu’un jour...
La faim…
Ce qui compte, ça n’est pas le BUT, c’est le voyage
(Vas dire ça aux dirigeants du PSG, et là, tu vas manger !!!).
Revenons-en à nos agneaux, à notre agnelle, et au Bozo.
Trop ôtés
par la vie, tripoté.e.s par la Mort, vivent de petits larcins,
De petites arnaks et de menus frottis, alors tripotent aussi…
Car « Y’a pas de Raison » !
Puisqu’on nous Mâte à mort, hé bien…
Matons les matons !
(et accessoirement, tondons les moutons)
Mais le
Matou Matheux, cuit, qui passait par là,
Ravagé par la vie et se croyant tranquille, parc'qu'enfin il croyait,
Un jour, Antoine Croizat...
QUI ?
Le garçon et la fille.
(Comme dirait l’autre… Heu ?... Aznatatürk ? C’est ça ?).
Bon BREF !
Et Là, on peut dire BREF !
(Ce n’est pas une figure de style).
Le Matou,
les Gazelles, les Gnous et leurs petits,
Face au lion, Kiss Croix FORT, furent mangés tout crus.
Juste paskilzycroyaient (Comme Deraime il disait).
Et tout a explosé.
Et tout s’est mélangé.
Les Gnous, le PSG, le garçon et la fille.
Les pains au chocolat, sur la moto d’Dpogba.
Gotlieb passait par là, (ça n'était pas Flippeur)
Et le Matou Matheux,
Aidé par ses amis, et tous les autres, aussi,
De son Labyrinthe,
trouva enfin la sortie.
C’t’un peu
confus.
(Pourquoi « fût » ?)
Mais ça…
C’est DIT
(Et bientôt, ça, c’est fait).
Pointalaligne.
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Moralité :
El père Y colle au zoo c’porc Jerzi
DaVcK0! Roissy en Brie – Le mardi 11 septembre 1984
Heu… 2022
samedi 13 août 2022
mercredi 10 août 2022
Il est 5 heures, Roissy s'éveille...
Mercredi 10 août 2022 - 5 Heures du matin
Roissy-en-Brie s'éveille sous le levé du Soleil.
Comme c'est agréable !
À cette heure Mattitudinale, seuls quelques promeneurs de chiens sont de sortie, et les ouvriers qui partent travailler sur les chantiers.
Mais pas François.
Qui dort du sommeil du juste, satisfait du devoir accompli en ce mois d'aout caniculaire.
François n'est pas ouvrier.
François, c'est le Boss.
Alors pourquoi bosser ?
Le parc Chirac n'active plus sa fontaine, en tout cas à 7h du matin.
Un bon début.
Qu'en est-il la journée ?
Les enseignes des banques et celles des agences immobilières resplendissent dans la nuit, à l'approche du soleil levant.
L'hôtel de ville, ancien château de Monsieur Pathé, a été rénové. Y a-t-on conservé un Donjon secret pour batifoler, comme dans le fameux livre de Pauline Réage?
Il était temps.
S'il fallait compter de la Municipalité...
Bah ouaip.
Il faudrait bosser.
Travailler.
Maîtriser les dossiers.
Trop dur.
Trop de boulot.
Et il fait chaud.
Le petit écureuil du Crédit de la Caisse d'Épargne trouverait bien quelques petites noisettes à grignoter dans le parc de la mairie.
Des petites noisettes.
Rien que des petites noisettes.
En dix minutes, seules deux voitures passent.
Les Roisséennes et les Roisséens seraient-ils partis en vacances, malgré la crise, le prix de l'essence, la fatigue et la Canicule ?
Que nenni.
Sur les trottoirs, nombreuses automobiles sont garées, preuve que beaucoup d'entre nous ne sont pas partis.
Hélas, trois fois Hélas, Roissy en vacances s'est arrêté la semaine dernière.
Alors que font les enfants, les jeunes, les retraités ?
Qu'ont-ils à faire ?
Qu'ils restent chez leurs mères, leurs pères, leurs frères et leurs sœurs, Ho ! Ho !, ce serait le bonheur.
Car la toute nouvelle maison de la jeunesse, pourtant construite depuis longtemps, n'est toujours pas ouverte.
C'est ballot, non ?
5:40
Le Carré d'As, anciennement Chez Tavy, lève son lourd rideau de fer, à grand bruit qui résonne tel le dérapage contrôlé d'une DS.
Je ne sais pas si ça dérape, une DS.
Le ciel, au loin, devient de plus en plus bleu.
Nos fiers pylônes électriques tendent leurs bras de fer comme Jésus crie sur sa croix, et apparaissent dans le soleil qui commence à déchirer l'horizon de ses rayons ardents. Ce sont les Don Quichotte de Roissy, à qui il ne manque qu'un fidèle Boucho.
Mais Boucho n'est pas là...
Comme Marx, il est libre.
Les étoiles disparaissent complètement.
Il fait jour.
À la gare, quelques travailleurs prennent ce p… de fichu train qui ne fonctionne jamais ou si peu.
De rares voitures occupent l'immense parking bétonné, construit à l'époque par le maire, la SNCF et leurs potes bétonniers pour accueillir toutes les bagnoles des environs.
Résultat : passez en septembre, entre 7h et 9h heures du matin. Vous sentirez la douce odeur du gazole pendant que le rond-point Schumann croule sous la densité automobile.
Nous arrivons enfin dans notre quartier.
C'est le centre de Roissy.
Le Vrai.
Où se mélange les nationalités, les âges et religions.
Les gens viennent de loin pour croiser leurs amis de chez les renards, du bois qui prie, des Grands Champs, terres de désolation, etc.
Tout Roissy, la région, la France, l'Europe et le monde entier sont réunis ici.
Illustration d'une Cour des Miracles du XVIIe siècle - Gustave Doré
Parfois, certains esprits sont trop chauffés par le soleil du mois d'août ou de trop forts liquides.
Mais peut-on leur en vouloir ?
Comme disait Jim Thompson dans 1275 Âmes : "N'engueulez jamais un alcoolique. Il s'est déjà suffisamment engueulé lui-même".
Les citoyens qui votent, et ceux qui ne votent pas, aimeraient bien une petite visite de leur maire de temps en temps, juste pour dire bonjour.
Puisque le maire, c'est un peu comme une mère.
Toujours là pour toi.
Ou pas...
Toujours présente.
Bonne journée, Roisséennes et Roisséens.
Et surtout, n'oubliez pas :
Le Héron du Lac